La flèche a 10 ans! On célèbre l’événement en soulignant 10 projets qui ont marqué l’évolution de nos pratiques et l’élargissement progressif de notre offre.
Client : On the Edge
Projets : Stratégie de marque, création de logo, stratégie et exécution de contenus, recrutement et encadrement de créateur·rices de contenus/ambassadeur·rices
Années : 2023 à aujourd’hui
Les relations entre entreprises (B2B) sont de plus en plus soumises à des impératifs qui ressemblent à ceux des marques qui doivent s’adresser aux consommateur·rices.
Le plus souvent, c’est pour répondre aux demandes en matière de marque employeur que des compagnies qui œuvrent dans l’ombre tendent à raffiner leurs stratégies de communication, à revoir leur image de marque et à affûter leurs messages.
La situation de notre client, On the Edge Canada (OTE), illustre cependant une autre facette de la nécessité des entreprises B2B de sortir de l’ombre. Soit d’agir comme pont entre ses clients, qui comptent parmi les plus prestigieuses marques du cyclisme, et les acheteur·euses.
« Comme la plupart des entreprises du monde du sport et du plein air, on avait vécu une croissance exceptionnelle pendant la pandémie. Sauf qu’on savait que ça n’allait pas durer et que lorsque la frénésie s’estomperait, il faudrait qu’on soit prêts à faire face à ce revirement de situation », expose Jean-Pierre Thériault, fondateur et PDG d’OTE.
« Les gens connaissent nos marques : Pivot, ENVE, ROTOR, Chris King. Mais ils savent moins qu’on est derrière celles-ci. On voulait aussi que nos partenaires, tant les détaillants que les fabricants, sentent qu’on les appuie dans leurs efforts en matière de communications », poursuit-il.
À la flèche, nous sommes donc remonté·es aux sources en établissant l’essence de la marque OTE, dont les racines sont plantées dans l’histoire du sport cycliste, et qui, comme ses marques, se distingue depuis sa fondation en promouvant l’innovation technologique.
« Il y a quelque chose de très old school et en même temps de très moderne dans leur rapport au vélo, explique notre cofondateur et stratège Emmanuel Moisan. On voulait que leur logo et leurs médias sociaux disent ça : on est là depuis longtemps, on connaît tout ce qui rend ce sport inspirant et captivant, et on a les outils pour tous ceux et celles qui veulent vivre leur passion en utilisant ce que l’industrie a de meilleur à leur offrir. »
« La flèche nous a permis de tracer la route pour réaliser notre ambition de faire d’OTE la référence canadienne en matière de vélos et composantes haut de gamme en valorisant notre héritage, en nous invitant à sortir des sentiers battus et en assumant un leadership à la manière du train qui transporte son sprinter vers la ligne d’arrivée », s’enthousiasme Denis Lapierre, directeur des ventes et du marketing.
Nouveau logo, communications revampées
L’image développée par le directeur artistique et designer François Desjardins allie parfaitement la dualité old school/new school au cœur de l’identité de la marque. Son logo, clin d’œil à ceux de certains groupes métal des années 1980, traduit parfaitement l’excitation liée au vélo, une sorte d’idée du risque et de la frénésie qui anime les cyclistes de route et de montagne lorsqu’ils et elles tutoient le danger.
L’univers graphique créé dans la foulée permet d’animer la production quotidienne de contenus dont nous avons la charge, principalement sur Instagram, intégrant un mélange de contenu original, de UGC (contenu produit par des utilisateur·rices) ainsi que des contenus d’ambassadeur·rices/créateur·rices de contenus que nous avons recrutés avec le client.
« Sans ce soutien, on ne serait pas en mesure de produire du contenu original, on se contenterait de partager celui de nos partenaires, expose Jean-Pierre Thériault. Sans contenu maison, difficile de se donner une identité, un ton. »
Denis Lapierre ajoute : « L’identité forte de la marque, la stratégie de contenus et le logo nous permettent de garder le cap, de ne pas se perdre dans la multitude qu’offre le web et de se concentrer sur ce qu’on est et vers où on veut aller. Nos fournisseurs tout comme nos client·es apprécient l’esthétique des visuels, la constance des publications, la qualité des actions qu’on pose. Ce qu’on produit peut à son tour être utilisé par nos partenaires. C’est une valeur qui s’ajoute aux services qu’on offre déjà. »
« On n’hésite plus à nommer OTE, alors qu’avant on avait peur que ça ne dise rien à personne. On existe à l’extérieur de nos marques et on reçoit davantage d’offres de partenariat depuis. On en est encore aux premières étapes, mais on va dans la bonne direction », conclut-il.