La flèche a 10 ans! On célèbre l’événement en soulignant 10 projets qui ont marqué l’évolution de nos pratiques et l’élargissement progressif de notre offre.
Voici le tout premier, avec notre premier client, qui est venu confirmer notre intuition à ce moment : le contenu serait désormais un levier incontournable pour les marques.
Condos de prestige, communications élégantes
Client : Bilodeau Immobilier
Projet : Woodfield-Sillery
Année : 2014
Notre principale conviction lorsque nous avons fondé la flèche était que nous pourrions offrir à nos clients des manières alternatives de faire parler leur marque.
Dix ans plus tard, c’est toujours vrai : nous avons peut-être étendu notre champ d’action pour y ajouter le développement de l’image de marque et des stratégies de communication qui vont au-delà du contenu, mais ce qui nous distingue, c’est encore notre capacité à faire parler nos clients de manière singulière afin de répondre efficacement à leurs objectifs.
Premier mandat, premier défi
Bilodeau Immobilier, notre tout premier client, amorçait la construction du projet de condominiums Woodfield à Sillery et souhaitait se démarquer au sein d’une offre de plus en plus vaste dans l’habitation de prestige.
« Au moment où les gens se demandaient s’ils allaient acheter leur condo chez nous ou ailleurs, il fallait trouver une manière de les relancer qui serait aimable et utile. On cherchait une façon élégante et efficace de remettre notre produit sous leurs yeux pour qu’ils considèrent notre offre de manière plus favorable », se remémore Eric Bilodeau, directeur général chez Bilodeau Immobilier.
Du contenu au service de l’image et des ventes
Notre idée était simple : mettre de l’avant un secteur dont le milieu de vie est à la hauteur de la qualité du produit qu’était Woodfield. Soit l’un des plus beaux quartiers de la ville de Québec.
Les visiteurs du site du projet, les gens qui se pointaient au bureau de vente, de même que quelques curieux du coin se voyaient offrir de s’inscrire à une infolettre (aussi publiée sur le blogue du site web de Woodfield) qui mettait en valeur le milieu : verdoyant, riche en services de qualité, à proximité de tous les attraits de la ville ou de la banlieue.
Le contenu prenait la forme d’un journal de quartier appelé Le Carnet Woodfield, où se succédaient des propositions de restaurants du secteur par des critiques aguerries, des suggestions de lecture par la librairie du quartier, des idées d’activités à faire tout près, de même que des nouvelles sur l’avancement du projet et ses particularités.
« Ça nous avait démarqués, se souvient Eric Bilodeau. On était parmi les premiers à avoir une infolettre et un blogue aussi complets, détaillés et soutenus. En fait, c’était tellement réussi que les gens voulaient rester abonnés même quand le projet a été terminé. »
Résultat : une relation d’affaires qui dure
La campagne fonctionne à un point tel que l’entreprise récidive au moment de lancer son nouveau projet d’appartements du 155 Grande Allée Est, quatre ans plus tard.
Cette fois, c’est le quartier des spectacles qui est mis en valeur. Les potentiels locataires ont droit à des entrevues avec des comédiens, des metteurs en scène, des commerçants des principales artères du coin…
« En inscrivant la marque dans cet esprit-là, on allait aussi chercher la clientèle qu’on souhaitait », souligne Eric Bilodeau.
De ces deux projets naîtront un ensemble d’initiatives de médias sociaux, une stratégie d’achat de visibilité sur ces plateformes et d’autres qui permettent, par
exemple, l’achat d’espaces libres sur de l’affichage électronique dans les lieux publics de la ville. Par exemple, pour atteindre un autre bassin de clientèle, nous avons créé un compte TikTok destiné aux étudiants qui connaît un grand succès.
Après une décennie de collaboration, la relation d’affaires est toujours aussi solide. Au moment où on écrit ces lignes, de nouveaux projets s’ajoutent à la longue liste de ceux réalisés en collaboration avec une entreprise de Québec qui croyait à ce que nous faisons, et que nous n’avons pas déçue. Pour cela, il a fallu du travail, de l’écoute, de la créativité. Mais aussi un client complice et ouvert à nos idées qui sortent souvent des sentiers battus.
